Lorsqu’il s’agit d’évoquer le Malaise dans la civilisation , j’ai toujours le sentiment de n’avoir rien à dire. « Toutes les époques », remarque Lacan, se sont crues arrivées au maximum de point d’acuité d’une confrontation avec je ne sais quoi de terminal. »[1] C’est sans doute pour cela qu’au moment où il achève la rédaction du Malaise dans la civilisation, Freud s’excuse d’avoir simplement « redécouvert les vérités les plus banales », et déclare qu’ « aucun ouvrage ne lui a donné », comme celui-ci, « l’impression vive de dire ce que tout le monde sait. »[2] Ce n’est pas une coquetterie.
Emily Jane Brontë et sa musique
Voix d’Emily :
« I’m happiest when most away
I can bear my soul from its home of clay
On a windy night when the moon is bright
And the eye can wander through worlds of light –
When I am not and none beside –
Nor earth nor sea nor cloudless sky –
But only spirit wandering wide
Trought infinite immensity.